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Jeu 5 Sep - 10:55
Rosemary E. Grimshaw - Civil
Civil
icon ROSEMARY ETHEL GRIMSHAW
“La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir. ”


Bonjour à tous, ici l’Horloger, je vous présente Rosemary Ethel Grimshaw, mais on la surnomme Rose. Elle est d’origine providentienne, elle consacre sa vie à être épouse et mère au foyer. Elle fait d’ailleurs partie des Civils. Elle a vu le monde près de Serenity Hallow, il y a 31 ans. Même si c'est un peu indiscret, sachez qu’elle est, pour mon plus grand désespoir homosexuelle mais mariée à un très bon époux. Si elle est liée avec une I.M.R ? Non, pas pour l’instant et probablement jamais. D'ailleurs je crois qu’elle les craint, bien qu’il soit un mal nécessaire au sein de la Confrérie..

Son physique


Au commencement, je créais son corps. Sa forme était informe et vide: il y avait des ténèbres au profond du ventre, et mon esprit se mouvait au dedans de ces eaux.

« Que la lumière soit! ». Par l’intermédiaire de son regard et sa douce chevelure, la lumière fut.

Elle éclairait par son existence chaque pièce dans laquelle elle ferait l’honneur d’y accorder sa présence. Et alors que par son simple sourire elle repoussait les ténèbres, je créais sa longue étendue de peau, claire et lisse, décorée de petites touches de peinture de la même couleur que ce que les Hommes appellent la poudre de cacao. Je donnais à ses yeux la plus belles des couleurs, celle que j’avais donné au ciel et parfois à la mer, éclatante par de petites touches de jaune et de vert. Je dessinais ses lèvres d'un fin trait, qu'elle pincera autant qu'elle le souhaitera. Ses joues, rebondies mais un peu pâles, seront le réceptacle des doux baisers de ses futures progénitures -et de ceux qui l'aimeront autrement, parfois à mon plus grand regret- , elles même décorées de pommettes rendant son visage géométriquement parfait. Son nez, dans la lignée de la forme de son visage, je le dressais long et fin. Enfin, pour sa longue toison, je la choisissais du même pigment que celui des plages spacieuses, sur les mêmes qu’elle aimera, une fois grande, galoper à dos d’équidé.

Je choisis sa future stature grande et élancée, au long membres et fins, rendant son aura plus belle encore. D’un coup de crayon assuré, je modelais son torse et le reste de son corps avec justesse et goût, décorant ce premier de deux petits monticules, d’un petit fossé au creux de son abdomen, comme j’avais pu le faire jadis lors de la créations des monts et vallées de la Terre. Ses jambes élancées que je lui dotais allaient lui permettre d’étendre son regard de plus haut, toisant ceux qui déposeraient son regard sur elle. Je veux la faire désirable pour celui qui ferait d'elle son épouse, bien que je sais qu'elle n'éprouvera rien d'aussi similaire pour lui. Ses deux grossesses seront clémentes avec elle, celles-ci ne lui laisseront que de maigres séquelles visuelles, des légères vergetures çà et là, presques invisibles. Sa constitution, ni faible ni robuste, était bien là le seul  élément commun que je lui accordais. Future rentière et épouse, une robustesse et une solidité corporelle ne lui serait d’aucune utilité.

Je composais sa voix comme une mélodie sacrée, à la fois mélodieuse et tamisée, sans beaucoup d’auteur, presque murmurée. Ses éclats de rires, eux, bien que rares, étaient vifs et chantants. Sa gestuelle serait néanmoins monotone et sans grande vivacité, à la fois aérienne et placide, elle ne faisait pas état d’une très grande énergie, sans être pour autant être amorphe ou soporifique. Sa peau pouvait dégager une douce odeur de fruit frais, presque acidulée, ressemblant à une odeur de pomme verte mélangée à un peu de mélisse.

En terme de drapés, je laissais le hasard choisir ses goûts et couleurs, mais j’observais plus tard son amour prononcé pour les couleurs douçâtres et peu pigmentées, allant d’un blanc éclatant à un beige foncé, au bleu foncé à quelque chose de plus passé, délavé. La coupe toujours similaire : longue, à plusieurs couches, avec jupons, au corset souple, telle une épouse et mère respectable. Elle aimera également porter le pentalon, bien que cela ne soit pas dans les conventions de sa société. Capillairement, je la vois changeante, adoptant parfois le chignon, d’autres jours juste les cheveux tirés, liés par un ruban, plus rares étaient les jours où juste les cheveux étaient juste détachés soumis à mes vents et courants.

Ainsi, il y eut le corps de Rosemary Ethel Grimshaw : ce fut le premier jour.

Son caractère


Que les humeurs et les esprits qui sont en ma main se rassemblent en une seule chose, et que son âme paraisse. Et cela fut ainsi.

Celle-ci serait comme le reste : douce et sage, sans caprices ni tempéraments, seulement de la tendresse, bienveillance, bonté et bien entendu, miséricorde : à mon image. Appréciant chacune de mes créations, elle sera désobligeante et âpre envers ceux qui réserveront un comportement acide et acrimonieux envers les locaux, natifs de ce que les Hommes ont appelé Nouvelle Providence.

Mais je la faisais également similaire à ses ascendants : par sa mère, un peu timide, gracieuse, fidèle, affectueuse, aimant la nature et ses attraits. Artiste également, je la voudrais dotée de multiples talents : peinture, danse, musique et chant, travaux de maison. Par son père, elle serait courageuse mais craintive, presque sauvage ; n’aimant que peu la présence de ses semblables et avare en paroles, elle serait néanmoins dotée d’une grande présence et éloquence. Je la voyais également aussi douée que son père pour l’équitation et la survie en milieu sauvage, mais très peu à l’aise avec la technologie -surtout les I.M.R, une abomination créé par une autre être supérieur-. Les deux parents voulant aller toujours plus vite que l’Horloge, je la ferai comme à eux… mais également lunaire et rêveuse.

Cependant, comme je sais que son enfance sera touchée par un drame causant leur perte, elle prendra aussi un peu de son Oncle, sévère et perméable aux codes de sa société. Blessée par ses sentiments infâmes envers ses consœurs, elle voudra à chaque instant réparer son attachement contre nature par la piété, la prière et son adoration pour le Créateur que je suis.

Plus tard, je la vois solitaire, sans trop de compagnons. Elle n’aura qu’en cercle de proches uniquement sa famille : ses enfants et son mari… envers qui elle ne sera jamais totalement honnête. Lui seul l’aimera d’un amour sincère. Avec lui, elle ne le verra seulement comme un ami voire uniquement comme un colocataire ; avec qui elle partagera la couche et des enfants. A chaque instant elle aura ce regard coupable de ne pouvoir lui rendre ses milles et une tendresses et l’amour qu’il éprouvera pour elle, lui brisant un peu plus le coeur chaque jour, se contentant de sa présence et de son doux et  sourire.

Peut être uniquement épouse et femme au foyer, elle aimera se cultiver et travailler son esprit; lisant à la fois les actualités, la littérature scientifique et philosophique et s’adonnant elle-même à certains travaux intellectuels d’ordres plus politiques, en faveur du statut de la femme et de l’amélioration des conditions de vie actuelle, bien loins d’être cachés à la vue de tous, sous le nom du célèbre romancier, Ezekiel Kaldwin.  Elle rêvera d’ailleurs d’organiser des clubs exclusivement féminins; qui donneraient lieux à des débats et des actions pour leur statut et leur voix, allant même jusqu’à se battre pour un droit de vote.

Sa relation avec ses propres enfants ne sera pas aussi fusionnelle qu’avec celle eue avec ses parents, trop occupée à rêver d’une vie qui n’est pas la sienne, pleine de liberté. Ils seront sa cage, prisonnière de cette vie de famille qui ne la conviendra pas. Elle rêvera d’une vie pleine d’indépendance, sans mari, sans enfant, vivant avec celle qui aura compté plus que sa propre personne. Captive d’une vie qu’elle se sera construite, elle tentera malgré tout de réfléchir à une destin qui lui permettra l’émancipation, à elle et tant d’autres révélant une ambition qu’elle n’aura jamais deviné avoir.

Ainsi, il y eut l’âme de Rosemary Ethel Grimshaw : ce fut le second jour.

Ton histoire


Maintenant faite, il n’était plus question de parler de toi à la troisième personne, Rosemary, fille de Ellie Dinah Grimshaw, née Millerstone et Daniel Xavier Grimshaw. Je te voyais là, d’une petite taille de bambin, découvrant le monde encore trouble et flou autour de toi, ne voyant que tes parents en formes indécises. Tes premières années furent douces et tranquilles, apprenant petit à petit les connaissances que tes parents t’inculquaient, du mieux qu’ils le pouvaient. Par chance, ceux ci étaient fort instruits, venant tout deux de familles aisées. A un jeune âge déjà, tes paroles étaient bien faites et ta tête bien remplie. Tes parents te regardaient chaque jour apprendre et découvrir de nouvelles choses avec grande fierté.

Mais la cruauté certaine de la vie te les enlèvera bien trop tôt, alors même que tu commençais à former des phrases et que tu parcourais les sols de tes pieds. Sans vraiment le comprendre à l’époque, tu t’étais retrouvée dans une nouvelle demeure, immense avec plusieurs dépendances où vivaient les domestiques, tous Caibos. C’était la première fois que tu en voyais d’aussi près, la maisonnée de feu tes parents t’ayant couvert de la majeure partie de la diversité que t’offrait le monde.

Hésitant à interroger ton oncle, celui qui t’avait accueilli, tu ne savais que vaguement ce qu’il s’était passé : tes parents, s’autorisant depuis la première fois depuis ta naissance à une retraite en pleine nature ; permettant à ta mère de chevaucher durant des heures son fidèle destrier et ton père à chasser, avaient fait la terrible rencontre avec des Intelligences Sauvages. Bien que très compétent avec un fusil, ton père avait péri en protégeant sa femme et les deux avaient été retrouvés déchiquetés dans une crevasse, à moitiés dévorés par les hyènes et vautours. De là vient ta crainte des Intelligences Mécaniques, conscientes ou sauvages, contractantes ou non… Tout ce qui venait du ciel -autre que de ma création- t’évoquait un certain effroi. Tu sais que certaines sont utiles à la société, notamment celles inscrites à la confrérie. Mais, quand bien même celles-ci seraient l’une des mains de la justice, elles restent des créatures mystérieuses dont il est difficile pour toi d’y déceler une certaine “humanité”.  

Tu étais une élève très sérieuse, hormis lorsqu’il fallait être participer à des travaux de groupe. Tes matières favorites étaient la littérature, les sciences et les arts. Aux arts ménagers, tu étais une élève médiocre, lié à un manque d’implication et d’intérêt certain à ces matières. Tu ne te voyais ni femme au foyer, ni mère de famille : et pourtant ! Moi seul sait que ce sera finalement ta destinée. Bien que sérieuse, tu étais très secrète, solitaire et peu avenante avec tes camarades. Plus par maladresse que par méchanceté, tu parlais un langage peu détourné et très direct. Avec l'âge et la lecture, tes paroles s’adoucissaient et tu savais que dorénavant, le silence était plus précieux qu’une myriade de mots.

L’immense demeure de ton oncle, Ian Grimshaw, veuf, sans enfant, avait été le terrain de jeu idéal pour une enfant de ton âge. Tu avais pu découvrir l’équitation et la passion pour les chevaux. Comme celle qui t’avait portée, tu devenais une cavalière hors pair. Ton appréciation de cette espèce te fit retomber dans tes travers un peu sauvages, t’isolant du reste du monde au profit des équidés. Au grand dam de ton oncle, tu aimais partir secrètement à cheval quand bon te semblait, lorsque la nuit était tombée ou en pleine réception mondaine. Incapable de te garder enfermée et inquiet de te savoir en pleine nature sauvage -et se rappelant ce qui était arrivé à tes propres parents- il t’enseigna la chasse, l’art du tir au fusil et l’escrime. Et, au lieu de lui permettre de se rassurer, tu devenait de plus en plus irresponsable, devant presque une adolescente fougueuse et impulsive. Ton oncle n’était pas sévère, au contraire. Il n’était pas non plus versé dans la tendresse et l’expression des sentiments.

Parmi ses enseignements figureront le catéchisme, l’enseignement des saintes écritures. Tu apprendras donc mes exploits et ceux des saints qui transmis ma parole. Tu iras tous les dimanches à l’Eglise où tu me priera. Ta foi grandira petit à petit et iras à son paroxysme alors que tu te découvrira des penchants vicieux et sentimentaux pour les femmes. Comme pour “guérir” ou “corriger” cet “enthousiasme”infâme, tu pries et transmets toi aussi la bonne parole.

Ces dits sentiments se sont révélés alors que tu cotoyais l’une des enfants de Caibos au service de Ian. Celui-ci employait un très grand nombre de natifs dans ses champs et exploitations diverses ce qui avait fait d’une partie de sa propriété un micro village de natifs. Ceux-ci pouvaient comme ils l’entendaient prier leurs “divinités”, vivre comme ils le voulaient, tant qu’ils travaillaient. Parmis eux se trouvait une métis Caibos et providentielle. Celle-ci était pétillante de joie, d’apparence presque frivole, tu avais été tout d’abord intriguée par son mode de vie, à cette adolescente et à ses compagnons ; puis attirée par leur culture et existence. Ce qui n’était au premier abord que de la simple curiosité, s’était suivie d’une douce amitié avec celle qui avait un prénom si similaire au tien : Rosamar.  Légère et joyeuse, elle était celle qui t’avait rendu ton sourire, perdu le même jour où tes parents se sont retrouvés sous la lame d’une IS.

Mais, ce qui se trouva ensuite être plus qu’une simple amitié, fut fort heureusement stoppé par ton mariage imminent avec un actionnaire d’une grande société de Coppertown, U.V. Corp. Celui-ci était Christopher Sinclair, un homme patient, d’une gentillesse incomparable et bel homme, quand bien même tu n’aies aucune attirance ni sentiment pour lui. Si le mariage ne l'intéressait pas non plus, tout comme l’amour d’une femme, son coeur en fit autre chose et se perdit d’amour dans tes yeux bleus azurs malheureusement si indifférents. Ce mariage, bien qu’arrangé, était le juste prix à payer à ton oncle, qui t’avait pendant si longtemps pris sous son aile, éduquée, nourrie, blanchie. Un peu amère de te priver de ta propre liberté, tu te résignais pourtant : tu devenais ainsi une honnête femme et respectable. De plus, cette union te fit partir pour Coppertown, cette ville immense se trouvant au delà de la rivière Blackstone te séparant de celle que tu aimais tant.

Tout deux de sérieux époux, vous eûtes deux enfants, élevés comme il se doit, avec Mes enseignements. Ces enfants étaient Corvo et Ethel. Le garçon était une copie conforme de ton époux, alors que la jeune fille ressemblait comme deux goutte d’eau à ta mère, alors que tu l’as comparait à des photos d’elle enfant. Celle-ci avait quatre ans, ton garçon deux ans de plus. Pour l’instant, ils étaient plus sages que toi plus jeune.  Cette vie de famille te permettait à t’adonner à tes activités qui étaient devenues tes bouées de sauvetage, loin de cette vie que tu as pourtant choisie, mais qui t’empoisonne. Celles-ci étaient tes longues virées en nature sauvage et tes journées passées enfermés dans ton bureau, écrivant tes romans et histoires suivies par plusieurs milliers de personnes, publiées sous le nom d’Ezekiel Kaldwin.  Celui-ci, romancier respecté, était pourtant décrié pour ses essais un peu trop novateurs en terme de condition de la femme, des Caibos, et de l’homosexualité. Le pseudonyme permettait à ta famille, surtout ton mari, d’être épargné des critiques et du déshonneur certain que pourrait provoquer de pareilles idées sur la réputation de l’espéré futur directeur d’U.V. Corp. Pourtant, tu espérais que par l’influence que tu avais gagné par l’intermédiaire d’Ezekiel, permettrait à la société de changer. Tu rêves d’un jour où éventuellement une femme pourrait être élue Gouverneure, quand bien même celle-ci n’a même pas le droit de vote, encore.

Mes caractéristiques


  • Force (FOR)

  • Dextérité (DEX)

  • Vigueur (VIG)

  • Perception (PER)

  • Astuce (AST)

  • Points de vie (PV)


  • 2/5

  • 4/5

  • 2/5

  • 4/5

  • 3/5

  • VIG (2) x 10 = 20




Anduril, Rose, 24


Je fais mon premier compte sur ce forum que j’ai connu grâce à SH-UN  jocolor . Et j’ai un truc à dire : CHICKEN ATTACK ! geek  


Dernière édition par Rosemary E. Grimshaw le Jeu 5 Sep - 11:34, édité 2 fois
Rosemary E. Grimshaw
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Jeu 5 Sep - 11:15
Lavinia S. Danse - Membre de la confrérie
Membre de la confrérie
Chickeenn attaaacckkk ! ♫

Je suis vraiment content que tu aies choisi mon prédéfini car tu as parfaitement cerné le personnage et le côté romancier que tu lui a ajouté est juste parfait et lui donne beaucoup plus d'intérêt à mes yeux. Très jolie plume comme toujours, j'aime beaucoup tes descriptions et j'ai très hâte de pouvoir jouer avec toi ! **

Pour se faire, deux simples détails sont à revoir : le gentilé de New Providence est providencien/providencienne (Providentiel étant la langue), et comme j'ai refusé le 1 en Force sur deux fiches, devant être équitable avec tous (1 étant un score où le personnage aurait du mal à porter son propre poids, et serait probablement en fauteuil par exemple). Je te propose donc de passer ton score à 2, ce qui techniquement est une force un peu en dessous de la moyenne.

Ceci fait, je te validerais rapidement. Tu as complètement cerné le personnage et tu as rajouté ta touche, ce qui le rend beaucoup plus intéressant. =)
Lavinia S. Danse
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Jeu 5 Sep - 11:36
Rosamar O. Escuella - Outlaw
Outlaw
Les modifications étant faites, je te valide ! <3

Rosamar O. Escuella
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